Il y a quelques années, j’habitais à Soulème, une jolie
petite ville au bord de la Loire.
Avec ma femme, nous allions
souvent nous promener au bord du lac de la Grâce. C’était un
endroit merveilleux.
Il y avait des enfants qui couraient, des
jeunes qui se rencontraient pour parler, des amoureux qui
s’embrassaient, des amis qui jouaient à la pétanque ou au
ballon, quelques pêcheurs qui essayaient d’attraper des
poissons et des vieux qui regardaient tous ces gens.
Les vieux disaient que les jeunes n’étaient plus les mêmes, qu’ils
n’étaient plus aussi sérieux, qu’ils pensaient seulement à
s’amuser et ne savaient plus travailler.
Les jeunes disaient que les vieux ne faisaient rien d’autre que critiquer et râler
tout le temps. J’avais quarante-cinq ans.
- Mets les verbes à l’imparfait
- Quand il (aller) au parc, il (parler) aux promeneurs.
- Je (être) à l’université quand tu (apprendre) à écrire.
- Elle (danser) tous les soirs quand elle (habiter) à Lyon.
- Ils (vouloir) devenir chanteur et ils (être) sûr de réussir, mais
ils (étudier) aussi pour avoir un diplôme. - On (avoir) 20 ans quand on (faire) la fête tous les week-ends.
- Je (mettre) souvent cette robe, je l’ (aimer) beaucoup.
- Vous (voir) souvent les Dufour quand vous (vivre) à Tours ?
- Tu (savoir) qu’Antonio (vendre) son canapé ?
- La porte (s’ouvrir) et (se fermer) toute seule !
- Je (ne pas – connaître) sa mère, mais Paul (dire) qu’elle
(avoir) beaucoup d’autorité et qu’elle (choisir) tout pour lui. C’est
pour ça qu’il (ne pas – pouvoir) sortir beaucoup.
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