même dans l’orage., dans les épreuves, écrivez Amen! Ne perdez pas confiance, n’ayez pas peur! Seul Jésus-Christ est celui qui nous donne le salut et l’éternité.
…11Jésus est La pierre rejetée par vous qui bâtissez, Et qui est devenue la principale de l’angle. 12 Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.
En effet, il est dit dans la bible, 1 Pierre 21-25
Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces, 22 Lui qui n’a point commis de péché, Et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude; 23 lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement; 24 lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris. 25 Car vous étiez comme des brebis errantes. Mais maintenant vous êtes retournés vers le pasteur et le gardien de vos âmes.
Que votre journée soit bénie au nom puissant de Jésus!
Il y a quelques années, j’habitais à Soulème, une jolie petite ville au bord de la Loire.
Avec ma femme, nous allions souvent nous promener au bord du lac de la Grâce. C’était un endroit merveilleux.
Il y avait des enfants qui couraient, des jeunes qui se rencontraient pour parler, des amoureux qui s’embrassaient, des amis qui jouaient à la pétanque ou au ballon, quelques pêcheurs qui essayaient d’attraper des poissons et des vieux qui regardaient tous ces gens.
Les vieux disaient que les jeunes n’étaient plus les mêmes, qu’ils n’étaient plus aussi sérieux, qu’ils pensaient seulement à s’amuser et ne savaient plus travailler.
Les jeunes disaient que les vieux ne faisaient rien d’autre que critiquer et râler tout le temps. J’avais quarante-cinq ans.
Mets les verbes à l’imparfait
Quand il (aller) au parc, il (parler) aux promeneurs.
Je (être) à l’université quand tu (apprendre) à écrire.
Elle (danser) tous les soirs quand elle (habiter) à Lyon.
Ils (vouloir) devenir chanteur et ils (être) sûr de réussir, mais ils (étudier) aussi pour avoir un diplôme.
On (avoir) 20 ans quand on (faire) la fête tous les week-ends.
Je (mettre) souvent cette robe, je l’ (aimer) beaucoup.
Vous (voir) souvent les Dufour quand vous (vivre) à Tours ?
Tu (savoir) qu’Antonio (vendre) son canapé ?
La porte (s’ouvrir) et (se fermer) toute seule !
Je (ne pas – connaître) sa mère, mais Paul (dire) qu’elle (avoir) beaucoup d’autorité et qu’elle (choisir) tout pour lui. C’est pour ça qu’il (ne pas – pouvoir) sortir beaucoup.
Pour voir l’original et les corrections, allez ici
Lisez les phrases ci-dessous. Ce sont des extraits du roman: La gloire de mon père écrit par Marcel Pagnol! Mettez le verbe entre parenthèses à l’imparfait!
L’oncle Jules et la tante Rose___________(venir) nous voir le dimanche
et j’_______ (aller) -avec Paul- déjeuner chez eux presque tous les jeudis.
Ils _______________(habiter) un bel appartement, à la rue des Minimes;
il ________(être) éclairé au gaz,
la tante ______ (faire) la cuisine au gaz et
elle _______(avoir) une femme de ménage…
Mon père _____ (être) en train de compter de l’argent;
en face de lui, ma mère ______(boire) son café.
Mon père _____(avoir) une passion: l’achat des vieilleries chez les brocanteurs…
Ma mère ne _______(partager) pas notre enthousiasme!..
Elle _____ (dire) avec force: Surtout, que les enfants ne touchent pas à ça!
Peut-être que vous aussi, vous trouvez cette tour de stockage des grains jolie? Il y en a beaucoup de ce style dans le Norfolk. Mon beau-père Lawrence habitait près de Hunstanton et nous allions le voir régulièrement!
Ah, je n’y suis jamais allée! Qu’est-ce qu’il y a de beau à voir?
Il y a un grand château qu’on peut voir si on va boire un coup d’un restaurant près de la rivière!
Bon, c’est une très bonne idée, on y va!
J’ai aussi lu dans le journal Sud Ouest que le château a été mis en vente par sa propriétaire, Ingrid de La Rochefoucauld!
C’est ici que François VI de La Rochefoucauld a rédigé ses célèbres Maximes .
Tout près de Ruffec (Charente), le célèbre château de Verteuil est à vendre. « Nous avons pris cette décision il y a un an environ. Ma santé est déclinante et l’entretien de la demeure nous coûte un argent fou », déclarait le comte Sixte de La Rochefoucauld, la semaine dernière à “Sud Ouest” .
Aujourd’hui, son épouse Indrig en dit un peu plus. “Franchement, je n’ai pas le choix. Depuis deux ans, je prends le relais comme je peux, même si ce n’est pas mon style de gérer les papiers et les factures”, déclare-t-elle dans un entretien exclusif au “Figaro” .
L’article, signé par Claire Bommelaer , est joliment intitulé “L’adieu de la famille La Rochefoucauld à mille ans d’histoire”. La journaliste y écrit que la mise en vente de Verteuil résonne comme “un coup de tonnerre dans le monde élégant et feutré des grands châteaux”. Elle y détaille “l’immense difficulté, y compris pour de grands noms français, de maintenir le patrimoine entre les mêmes mains”.
Si cette histoire vous intéresse? Pourquoi ne pas continuer de lire l’article ici et n’oubliez pas de vous abonner au blog puis de laisser un commentaire! A bientôt!
En souvenir de nos mères… Je crois que les jeunes d’aujourd’hui ignorent ce qu’est un tablier ( pinafore) Les mères et grand-mères portaient un tablier par-dessus leurs vêtements pour les protéger car elles avaient peu de robes de rechange.
En fait, il était beaucoup plus facile de laver un tablier en coton qu’une robe, une blouse ou une jupe, faites d’autres tissus.
L’usage principal du tablier de grand-mère était donc de protéger la robe, mais aussi :
– Il servait (it was used as) de gant pour retirer un plat brûlant du four”.
– Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants et, à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses sales.
– Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs, les poussins à réanimer, et parfois les oeufs à moitié éclos, que maman déposait dans un fourneau tiède afin de faciliter leur éclosion.
– Quand il y avait de la visite, le tablier servait d’abri (was used as a shelter) aux enfants timides. d’où l’expression : «Se cacher dans les jupons de sa mère».
– Par temps frais, maman le relevait pour s’y emmitoufler les bras et les épaules, par temps chaud, alors qu’elle cuisinait devant le poêle à bois, elle y épongeait la sueur de son front.
– Ce bon vieux tablier faisait aussi office de soufflet, alors qu’elle l’agitait au dessus du feu de bois pour le ranimer…
– Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes ; après que les petits pois aient été récoltés, venait le tour des choux.
– En fin de saison, il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l’arbre.
– Quand des visiteurs arrivaient à l’improviste, c’était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.
– A l’heure du repas, grand-mère allait sur le perron agiter son tablier, c’était signe que le dîner était prêt,et les hommes aux champs savaient qu’ils devaient passer à table.
– Grand-mère l’utilisait aussi pour sortir la tarte aux pommes du four et la poser sur le rebord de la fenêtre, afin qu’elle refroidisse ; de nos jours sa petite fille l’y pose aussi, mais pour la décongeler… Autres temps, autres moeurs!
Il faudra de bien longues années, avant que quelqu’un invente un vêtement, qui puisse rivaliser avec ce bon vieux tablier utile à tant de choses.
Danger ? On deviendrait bien fou aujourd’hui rien que de songer à la quantité de microbes qui pouvaient s’accumuler sur le tablier en une seule journée !!
En réalité, la seule chose que les enfants de l’époque aient attrapée au contact du tablier de maman ou de grand-maman, c’est de l’amour !!
par Sylvie Roujon sur facebook et un grand merci à elle.
Exercise: faites une liste de tous les verbes à l’imparfait. Révisez la formation de l’imparfait ici
A gauche, ma tante Rolande, à droite, maman Marie!
You use the imperfect tense in a narration. It’s a past tense different from the ‘passé composé’ the perfect tense.
I used to go swimming after the lessons: J’allais nager après les cours.
My mother used to pick me up late: maman venait me chercher tard.
How to form it?
1 – Take the nous form of the present tense
2- Get rid of the ‘ons’ and replace with those endings: ais, ais, ait, ions, iez, aient.
3 Make sure that the new ending agrees with the pronouns, je, tu , il/elle/on, nous, vous, ils/elles
je – ais
tu – ais
il/elle/on – ait
nous – ions
vous – iez
ils/elles – aient
Nous arrivons →This is the nous form of the present tense of the verb arriver.
Now get rid of the -ons and replace with the following ending: →ions
Exemple: Nous arrivions au collège très tôt: we used to arrive at school very early
Tu voulais toujours des vêtements chers! You always wanted expensive clothes.
Je chantais tout le temps: I used to sing all the time
Quand ma tante venait nous voir, ma fille se cachait sous la table de la salle à manger! Ma tante lui faisait peur!: When my auntie used to come and see us, my daughter would hide under the table in the dining room. She was scared of my auntie!
Exception for the verb être.
J’étais,
tu étais,
il/elle/on était,
nous étions,
vous étiez,
ils/elles étaient.
Encore des exemples
(to stay) rester → nous restons → je restais, tu restais, il/elle/on restait, nous restions, vous restiez (don’t pronounce the z), ils/elles restaient; I used to stay or I would stay…
(to look like) ressembler → nous ressemblons → je ressemblais, tu ressemblais, il/elle/on ressemblait, nous ressemblions, vous ressembliez, ils ressemblaient
(to go) aller → nous allons → j’allais, tu allais, il allait, nous allions, vous alliez, les enfants allaient…
(to relax) se détendre — nous nous détendions —- Bertrand se détendait…he used to relax